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Typologie Inosys

La typologie des exploitations Seine-et-Marnaises

  • La genèse d'une typologie partagée

Cette typologie tire son origine d'un projet mutualisé des chambres d'agriculture (animé par l'Assemblée permanent des chambres d'agriculture). Elle est axée sur des références systèmes basées sur des définitions communes au niveau national.

La finalité de cette typologie est de caractériser les systèmes et de les localiser tant au niveau national que local. Cela permet de se doter d'une grille de lecture commune pour appréhender la diversité des exploitations et de classer les entreprises en un nombre restreint de catégories identiques quelque soient leur situation géographique (un tronc commun a été élaboré au niveau national).

  • Définition commune des critères discriminants

La définition de critères discriminants a permis, sur l'ensemble du territoire national, d'harmoniser les approches et les méthodes et donc d'élaborer dans toutes les régions une typologie des exploitations agricoles dans un cadre méthodologique commun (définition commune des critères typologiques discriminatoires), sachant qu'une exploitation ne se retrouve que dans une famille typologique.

Les grands principes de construction de la typologie

  • Principe 1 : la signification des ateliers

On considère qu'un système d'exploitation agricole est composé d'un ensemble d'ateliers qui interagissent plus ou moins les uns avec les autres. Un système se définit donc avant tout par une combinaison d'ateliers. Un atelier est significatif pour l'exploitation à partir d'un seuil minimal en valeur absolue (nombre d'animaux ou nombre d'hectares) ou relative (en pourcentage de la SAU dédiée à cet atelier).

  • Principe 2 : hiérarchisation par l'impact des ateliers dans le système

Au-delà de la simple identification des combinaisons de productions, certaines sont jugées plus structurantes. Par conséquent, lors de la construction de l'arborescence typologique, les productions sont hiérarchisées selon leu impact (à dire d' « expert »), ce qui influe l'ordre de tri.

  • Principe 3 : en Seine-et-Marne : pouvoir suivre régulièrement les évolutions

Nous avons souhaité ne pas attendre tous les 10 ans (délais entre les différents recensements de l'agriculture) pour mesurer de façon significative les évolutions structurelles des types représentatifs des exploitations départementales et utiliser la connaissance des exploitations que nous avions, avec l'aide de l'ERE (Etablissement régional de l'Elevage) et des Centres de gestion.

Cela, et compte tenu des informations dont nous disposons, les exploitations « spécialisées » (maraichage, arboriculture, horticulture et pépinières) sont sous-représentées dans notre échantillon. De même, les ateliers « monogastrique » (porcins et avicoles) n'apparaissent pas.